La Workeuse

Conseils et astuces d'une working girl !

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Quand il y a grève des transports, on sort la roue de secours !

« Le trafic sera perturbé », « tous les trains sont à l’arrêt »… on les a toutes entendues ces annonces ! Chaque fois que les réseaux franciliens décident de faire la grève, c’est toute la population parisienne qui en pâtit. Imaginez un peu, une métropole entière paralysée par la grève des transports ! Hélas, ça nous arrive fréquemment. Et quand ça n’est pas la RATP ou la STIF, c’est la SNCF qui décide de bloquer la France entière, rien que ça ! À force de se retrouver dans ce genre de situation, on développe des astuces. Ça vous tente d’en connaître quelques-unes ?

Le Vélib’ ou l’Autolib’

Non, le Vélib’ n’est pas utile que dans les situations désespérées, quand vous rentrez pompette d’un dîner à 2h du matin et que tous les transports en commun sont fermés. Il peut aussi servir quand les transports en commun sont fermés… alors qu’ils ne devraient pas l’être ! Simple et non polluant, le Vélib’ a tout pour vous séduire !

Il existe depuis 2007 et il pullule aujourd’hui dans tout Paris et la petite couronne. On le retrouve aussi, sous d’autres dénominations plus ou moins similaires, dans toutes les grandes villes de France ! Lyon, Toulouse, Marseille, Bordeaux… pour la seule ville des lumières, ce ne sont pas moins de 17000 vélos qui sont à votre disposition dans quelques 1230 stations, alors en cas de grève des transports, je ne veux pas vous entendre dire que « j’ai eu beau chercher j’ai pas trouvé » !

En plus, ça ne coûte même pas très cher si vous comptez vous abonner. 29 euros par ans pour le Vélib’, 9 euros la demi-heure pour louer une Autolib’. Et mise à part les risques que vous encourez toujours à zigzaguer entre les voitures dans les rues de notre belle capitale, il y a peu de chances avec cette méthode pour que vous arriviez en retard où que ce soit le jour où il y a une grève des transports. Sans compter que ça fait faire du sport et que vous ressentirez moins la culpabilité d’avoir remplacé votre salade de quinoa par un bon hamburger frites ce jour-là.

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La marche à pieds

La marche à pied est le moyen de locomotion le plus ancien qui existe. Il paraît même qu’on l’aurait inventé avant la machine à vapeur ! Alors s’il existe encore aujourd’hui, c’est sans doute parce que c’est un système fiable, non ? Dans ce cas, le jour où survient une grève des transports, pourquoi ne vous rendriez-vous pas à votre travail à pieds ?

Je sais, il faut parfois marcher 2, 3, voire 4 heures pour se rendre sur son lieu de travail. Si vous êtes dans ce cas, oubliez ce que je viens de dire. Mais j’en connais quelques-uns (je ne désignerai personne) qui habitent à quelques stations de métro de chez elles et qui s’offrent quand même le métro au quotidien. Eh bien, voilà une bonne occasion de se bouger ! Hop !

En plus, Paris est l’une des villes les plus riches du monde en termes de patrimoine et de culture. Vous ne pourrez pas tourner à un angle de rue sans tomber sur une statue en hommage à quelque obscur souverain d’un temps révolu ou sans passer devant le portique de la maison d’un célèbre peintre, ou encore devant celle d’une star du cinéma. Profitez de la grève des transports pour explorer ce musée immense qu’est Paris !

Le covoiturage

Parfois, on vit en dehors de la ville et on a l’habitude de prendre le RER pour se rendre au travail. Il en va de même dans toutes les villes du monde, d’ailleurs ! C’est le système de la migration pendulaire. Avec l’affluence de citadins et la surabondance de logements occupés, sans parler des prix, on préfère délocaliser sa vie personnelle, et c’est un choix qui comporte de très nombreux avantages !

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Seulement voilà, quand une grève des transports a lieu (et on ne nous prévient pas toujours à l’avance), on se retrouve coupé du monde, comme Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène ! C’est pour cette raison que le covoiturage est un système révolutionnaire qui peut s’avérer salvateur !

On s’en sert pour voyager jusqu’à l’autre bout du monde, mais on peut tout aussi bien s’en servir pour voyager jusqu’à l’autre bout de la ville. En revanche, une grève des transports reste un problème pour tout le monde. Je ne vous garantis pas qu’il n’y ait pas d’embouteillages sur le périphérique, mais au moins vous aurez une solution pour ne pas rester chez vous !

Travailler à Paris : un art de vivre

Je ne compte même plus le nombre de mes amis qui vivent en province et se montrent émerveillés à chacune de leurs aimables visites dans mon antre parisienne. C’est parce qu’ils ne se rendent pas compte. Ils n’ont pas vécu les heures de pointe, les trajets interminables, les gens furibonds qui vous bousculent et vous fourrent leur dos spongieux dans les narines, le tissu de leur vêtement gorgé de transpiration. Travailler à Paris est un art, en quelques sortes. Si se rendre au travail est déjà une prouesse digne des meilleures acrobaties olympiques, en trouver un est encore autre chose.

On commence par s’installer

Quand on arrive en ville, ou même hors de la ville, avec la ferme intention de travailler à Paris, on commence par choisir un logement. Le plus dur, c’est d’en trouver un qui soit suffisamment peu éloigné du futur lieu de travail et qui, dans un même temps, soit dans un quartier considéré comme sympa, tout en étant assez grand et pas trop cher, assez calme et pas trop isolé.

Autant dire que c’est un rêve quasiment impossible à réaliser. À un moment ou à un autre, mes petits loups, vous allez être obligés de faire des concessions ! Je ne vous conseille surtout pas de privilégier un appartement plus petit qu’un mouchoir de poche, au simple prétexte qu’il se situe dans un superbe quartier à trois stations de votre boulot. Croyez-en mon expérience de vieille Parisienne habituée, vous éprouverez une joie bien plus immense à rentrer chez vous aux alentours de 22 heures, mais dans un joli petit 40m² tout confort.

Et puis, vous vous en rendrez vite compte : rares, très rares sont les Parisiens qui ont la chance incroyable de ne pas devoir effectuer plus de 30 minutes de trajet pour se rendre au travail. En revanche, ils sont beaucoup plus nombreux à vivre en périphérie, voire parfois même dans un autre département ! Ce phénomène de migration pendulaire est propre aux grandes métropoles. Quand on en est là, 2 heures de voyage par jour pour travailler à Paris, c’est la base.

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On se taille une place au soleil (de la gare d’Austerlitz)

La success story de l’entrepreneur qui monte sa boîte et devient multimillionnaire en quelques années ; ou encore celle de l’actrice de province qui éblouit les plus grands réalisateurs par son talent hors-norme ; ou le petit employé qui gravit les échelons et finit chez de service dans un organe d’État… ces rêves, on les a tous eus, non ?

Eh bien, je ne vais pas vous dire de les oublier, mais je ne vais pas non plus vous laisser miroiter que le parcours sera facile ! Foi de Parisienne, tout est possible quand on le veut vraiment ; mais nous sommes si nombreux à vouloir la même chose que le fait de l’obtenir nécessite une mentalité en acier trempé ! Rassurez-vous, puisque vous allez travailler à Paris, vous vous rendrez bien vite compte que le seul moyen d’exister, c’est de se faire entendre.

Jouer des coudes dans le métro, profiter de la moindre petite place pour vous faufiler, de la moindre opportunité pour évoluer, ce sont ces gestes simples qui vous aideront à grappiller et agglomérer peu à peu les branches qui serviront à tisser votre nouveau nid de petit oiseau parisien.

Travailler à Paris et profiter des douceurs de la vie

Même si au départ la quasi-totalité de votre salaire part dans votre loyer, vous finirez tôt ou tard par être capable de profiter des douceurs de la vie parisienne. Les terrasses des cafés vous souriront, les restaurants vous donneront l’eau à la bouche, vous ferez ami-ami avec votre boulanger, vous sortirez souvent, verrez tout ce que la ville a à vous offrir.

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Et puis, il faut bien se dire une chose : si tu peux partir le matin avant même que le soleil n’arrive, et sans dire un seul mot t’agripper à la barre dans le métro, ou perdre d’un seul coup 100 euros dans un café du 16ème arrondissement, sans un geste et sans un soupir, si tu peux rentrer le soir et supporter de médiocres programmes à la télévision, être trop épuisé pour te faire cuire le moindre steak, et te sentir haï sans haïr à ton tour, si tu peux travailler à Paris sans jamais voir la lumière du jour, et malgré tout sourire quand arrive le week-end, alors les bars, les boîtes, les restaurants seront à tout jamais tes lieux de prédilection et, ce qui est mieux que les Rois et la Gloire, tu seras Parisien, mon fils !

Partir en voyage d’affaires ? Ça plane pour moi !

Bon, ne nous mentons pas, il est quand même assez génial, ce moment où votre patron vous annonce que vous partez en voyage d’affaires. D’accord, ça l’est peut-être un peu moins si vous avez peur de l’avion, mais l’idée de se retrouver dans un pays étranger, de dormir à l’hôtel et de goûter aux saveurs exotiques de la nourriture locale dans un restaurant, tout ça aux frais de la princesse… personnellement, ce genre de nouvelle me motive et me donne envie de sourire à tout le monde pour le reste de la journée ! Dans cet article je vais vous dévoiler mes techniques secrètes pour préparer au mieux mes voyages professionnels !

Dans ma valise il y a…

Avez-vous déjà regardé Up in the air ? Ce film avec le beau, le drôle, l’élégant George Clooney vous fera tourner la tête, puisque c’est l’histoire d’un homme d’affaire voyageant 240 jours par an, rien que ça. De quoi vous inspirez pour vos propres déplacements ! Personnellement, j’ai mes petites habitudes :

Pour éviter la catastrophe

Pour commencer, avant chaque voyage d’affaires je prends toujours de l’argent liquide avec moi. Et je pense à changer la devise, bien entendu ! Mais de toute façon, tous les aéroports disposent de bureaux de change, me direz-vous. Certes ! Pourtant il m’est arrivé un jour de débarquer en pleine nuit dans un petit aéroport du fin fond de l’Alaska, et je peux vous assurer que pour trouver ne fut-ce qu’un distributeur automatique de billet dans ce trou perdu, il aurait fallu se lever de bonne heure !

Ensuite, j’imprime toujours – j’ai bien dit toujours – mes documents : billets d’avion, chambre d’hôtel… je photocopie même mes papiers d’identité. Comme ça, si la batterie de mon cher iPhone sur lequel je fais toutes mes réservations importantes décide de me lâcher au moment le plus (in)opportun, je dispose d’une solution de secours ! Et si je perds ou me fais voler mon passeport, idem ! Je suis maligne, n’est-ce pas ?

Aussi, je ne boucle jamais ma valise pour partir en voyage d’affaires sans y avoir mis au préalable un adaptateur universel pour prise électrique. Cliquez ici pour en trouver un. Il n’y a rien de plus horripilant que d’arriver dans sa chambre d’hôtel en territoire inconnu, épuisée et trempée de sueur, et de s’apercevoir qu’on ne peut même pas recharger la batterie de son ordinateur ou de son téléphone parce que les prises ne sont pas les mêmes qu’en France. De quoi s’arracher les cheveux, vraiment !

Pour penser à mon bien-être pendant le voyage

Bien sûr, je ne pars non plus jamais sans quelques tenues propres et bien pliées. Pas question d’arriver devant un client avec un pantalon ou une jupe froissée ! Je fais toujours en sorte de repasser mes affaires et de prendre quelques vêtements plus décontractés afin de ne pas passer la semaine entière coincée dans un costume ceinturé et inconfortable au possible. En voyage d’affaires, je prends généralement cinq paires de chaussettes, cinq culottes, cinq chemises, etc… vous savez pourquoi ? Parce que presque toutes les blanchisseries d’hôtels ont une formule « cinq de chaque » ! Pas bête, hein ?

Enfin, et c’est l’une des choses les plus importantes, je prends toujours de quoi me divertir ! Livres, films… mieux vaut avoir sur son disque dur quelques saisons de Game of Thrones, Mr. Robot et autres Breaking Bad pour s’occuper, car un voyage d’affaire, ça n’est pas fait que de rencontres. Ce sont aussi de longues, longues heures passées en solitaire, dans l’avion, à l’hôtel… bref, tout ce qui peut tromper l’ennui ne doit pas vous quitter d’une semelle !

Conseils pour égayer votre voyage d’affaires

Il faut user de stratégie pour profiter au maximum d’un voyage professionnel. Le fait qu’il s’agisse de business n’enlève rien au fait qu’il s’agit aussi, avant tout, d’un voyage ! Par exemple, je fais en sorte de rester le week-end sur place. Ça me laisse le temps de voir du pays, de me faire des amis et, au moins, si les affaires avec le client ne se sont pas avérées concluantes, je peux toujours me dire que je ne suis pas partie pour rien !

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Ensuite, tout dépend de l’endroit où je me rends et de l’époque à laquelle je m’y rends, mais j’aime prendre mes lunettes de soleil, un maillot de bain et une serviette avec moi. Beaucoup d’hôtels possèdent un spa. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Personnellement, je ne peux pas rester scotchée à mon téléphone pro toute la journée. J’ai besoin de mes moments détente, de ma lecture…

Et enfin, je ne pars pas en voyage d’affaires sans avoir au préalable bouclé mes plus gros dossiers. Ainsi je me sens plus légère et je peux partir l’esprit tranquille. Vous devriez vraiment essayer, croyez-moi, ça change tout ! Il ne me reste plus, mes chers amis, qu’à vous souhaiter bon voyage !

Burn out : tous mes conseils pour éviter de partir en fumée

J’espère pour vous que vous n’avez jamais eu affaire à ce fameux syndrome d’épuisement professionnel. Personnellement j’y ai toujours échappé, mais j’ai deux bonnes amies qui ont dû se mettre en arrêt maladie parce qu’elles n’arrivaient même plus à travailler ! C’est pour ça que j’ai décidé de vous en parler aujourd’hui. J’ai envie de préserver mes lectrices et lecteurs adorés de ce fléau qu’est le burn out ! Alors voyons ensemble tout ce qu’il faut faire pour éviter de partir en fumée.

Ce mal touche tout le monde !

D’abord, je vous le dis parce que moi-même j’étais un peu confuse au début, mais le burn out n’a absolument rien à voir avec les problèmes personnels ! Parce qu’il se trouve qu’une de mes amies venait de se séparer, alors j’ai cru que ça venait de là. En vérité, pas du tout ! Elle m’a expliqué ce que le médecin lui a dit : le syndrome est dû à 100% à ce qui se passe dans le milieu professionnel.

Et les personnes les plus touchées sont les artisans, les commerçants, les chefs d’entreprise, les commerçants, les cadres. Comme quoi, il ne suffit pas de gagner beaucoup d’argent pour être heureux ! Alors s’il vous plaît mes petits cœurs, faites-vous tester en cliquant ici, comme ça vous saurez si vous courez ou non le risque de péter les plombs !

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Des indices pour identifier le burn out

Déjà, sachez que vous aurez plus de chances d’être frappés par un syndrome d’épuisement professionnel si vous êtes une bête de travail que si vous n’en fichez pas une. Alors un conseil : on se calme, on se détend, on respire, car il n’y a pas que le boulot dans la vie !

Si vous vous sentez complètement vidés de votre énergie physique, que la seule idée de vous rendre au boulot vous colle des crampes d’estomac, que tout ce qui environne le lieu de travail vous donne littéralement la nausée, que vous pleurez pendant la pause déjeuner… et si votre solution pour remédier à tous ces problèmes est de vous shooter aux amphétamines, vitamines, alcool et autres antidépresseurs, tout ça pendant les heures d’activité, alors faites-vous aider en urgence ! Car vous présentez toutes les caractéristiques d’une personne en bonne voie vers le burn out.

Je ne sais pas pourquoi on fonctionne comme ça, mais l’être humain a cette propension à ignorer ses problèmes jusqu’au point de non-retour. Il faut agir ! Arrêtez de mettre ces symptômes sur le compte d’un simple coup de mou, d’une petite déprime passagère, ou même d’une tendance à la dépression que vous tiendriez de votre arrière grand-tante. Souvenez-vous de cette vague de suicides chez France Telecom dans les années 2010. Le burn out est un sujet grave qui peut conduire à des dommages irréparables…

Des techniques pour s’en sortir

Le syndrome d’épuisement professionnel est sans doute le fléau le plus répandu qui soit de nos jours. Il est tout de même insensé de penser que le travail puisse nous consumer de l’intérieur d’une telle manière, comme on craquerait une allumette ! Ça fait peur, mais il existe une foultitude de moyens pour s’en sortir, et ils font souvent appel au simple bon sens :

  • Prenez souvent des pauses
  • Consultez un spécialiste de la souffrance au travail, ils sont très nombreux à être opérationnels en France
  • Un arrêt maladie pourra vous sauver la vie : un médecin vous le prescrira généralement pour une durée de quelques mois ; une de mes amies a quant à elle été arrêtée pour un an, c’est dire !
  • Sinon, quittez votre travail en négociant une rupture conventionnelle de bonne qualité. Mieux vaut passer quelques semaines ou quelques mois à chercher un nouveau travail que de subir une détresse infernale et potentiellement mortelle !

Et puis, sans en arrivez là, profitez de la vie ! Le burn out, 100% des personnes touchées le laissent derrière eux, au bureau, quand ils rentrent chez eux. L’essentiel est d’être entourés de gens qui vous aiment et de faire des activités, bouger, sortir, se refaire une santé, guérir de la semaine, vivre !

Vie personnelle : jusqu’à quel point en parler au travail ?

Il y a une chose que je me suis toujours demandée : jusqu’à quel point peut-on parler de sa vie personnelle au travail ? On dit toujours qu’il vaut mieux séparer la vie privée et la vie professionnelle. Mais est-ce vraiment la bonne chose à faire ? Je vous donne tous mes conseils pour que vous puissiez jauger par vous-même ce qu’il vaut mieux éviter de dire, et ce qu’on a tout à fait le droit de partager. Pour en savoir plus, c’est par ici.

Comment parler de soi sans trop en faire ?

D’un premier abord, on peut se dire que la vie personnelle n’a rien à faire au sein de la sphère professionnelle. Et pourtant, ce que l’on vit dans le privé construit également la personne que nous sommes, et qui évolue dans le monde du travail. Je vous conseille donc d’apprendre par vous-même à doser ce que vous racontez à vos collègues : si vous ne parlez jamais de votre vie privée, ceux-ci vont sans doute être intrigués et se poser des questions à votre compte.

Parfois, cela peut donner lieu à certaines rumeurs qui circulent dans votre dos, sans que vous n’ayez rien demandé. Donc il vaut mieux parler de soi, par exemple, de ce dont on a fait l’expérience dernièrement, tout en évitant de trop s’épancher sur un sujet.

Vous pouvez parler d’un restaurant que vous avez testé ou encore d’une destination de vacances que vous recommandez. Ce sont des sujets assez généralistes, qui évoquent la vie privée sans pour autant trop s’y attarder. Plus plus de conseils pour savoir doser intimité et professionnalisme, cliquez ici.

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Parler de sa vie privée : tout dépend de la culture d’entreprise !

De plus, je voudrais souligner que tout dépend de l’entreprise, ou du milieu professionnel dans lequel vous travaillez. En effet, certaines cultures d’entreprises encouragent à tisser des liens forts entre collègues, et à partager sa vie personnelle. Dans ce cas, si vous ne vous livrez pas, cette attitude peut être très mal perçue pour certains de vos collègues.

Un bon conseil : quand vous arrivez dans une nouvelle entreprise, prenez le temps d’observer ce qui se fait ou ce qui ne se fait pas, vous pourrez ainsi vous adapter plus facilement à la culture d’entreprise.

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Se tourner vers les bon interlocuteurs en cas de besoin

Un décès de l’un de vos proches, une maladie, ou au contraire un heureux événement : les soucis et les aléas de la vie personnelle ont parfois de lourdes répercussions sur la vie professionnelle. Dans ces cas-là, une chose est sûre, il ne faut pas hésiter à en parler.

Tournez-vous vers votre manager, qui sera en mesure de vous apporter un soutien s’il connaît votre situation personnelle. Si vous rencontrez de plus lourds problèmes dans votre vie personnelle, sachez que vous pouvez tout à fait vous tourner vers la médecine du travail, ou votre responsable RH qui sont tenus de garder le secret professionnel. Pour savoir ce que l’on peut dire à son manager, consultez cet article.

Et si vos collègues deviennent vos meilleurs amis ?

Il arrive très souvent que l’on noue des liens forts avec collègues, et que ceux-ci deviennent de vrais amis. Pas de problème, dans ce cas, pour parler de votre vie personnelle. Mais un bon conseil, évitez de le faire sur vos heures de travail, et préférez les confidences en dehors de l’entreprise.

Maquillage simple : ma routine beauté pour aller au bureau

J’aime bien prendre soin de moi, et travailler un minimum mon look. Quand j’ai du temps, le week-end par exemple, je peaufine ma routine beauté et make-up. Mais pour les jours de boulot, je réalise un maquillage simple, et assez discret.

Juste ce qu’il faut, en somme, pour que je me sente bien dans ma peau, mais sans pour autant paraître trop apprêtée. Je vous conseille également cet article si vous avez envie d’obtenir tous les conseils pour se maquiller au boulot simplement.

Un teint frais et naturel pour aller au travail

Le matin, on n’a pas pas forcément le temps que l’on souhaiterait pour se maquiller. Je vous propose donc un maquillage simple et naturel pour aller au boulot sans se mettre en retard ! Je vous conseille de commencer par hydrater votre peau avec une crème de jour qui correspond parfaitement aux besoins de votre épiderme.

On passe ensuite à l’étape du correcteur et de l’anti-cernes : choisissez-le une teinte plus claire que votre carnation naturelle, et appliquez-le en tapotant légèrement avec une éponge à make-up pour fondre la matière dans les pores de votre peau.

Enfin, pour aller au travail je vous déconseille de porter un fond de teint, qui va finir par empêcher votre peau de respirer si vous le portez toute la journée. Pour un maquillage simple et naturel par excellence, je vous conseille de privilégier une BB crème, qui matifie votre peau tout en l’hydratant et en la protégeant des rayons UV. On finit par fixer le tout par un peu de poudre libre, et le tour est joué ! Cliquez ici pour plus d’idées de make-up pour le travail.

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On ouvre le regard sans le cerner

Je vous propose un maquillage simple à réaliser pour les yeux. Personnellement, c’est la partie de mon visage que je préfère maquiller. Je vous conseille de choisir une palette d’ombres à paupières de couleur assez claires et naturelles, pour un effet « nude », c’est-à-dire, pour donner une impression de fraîcheur, et de ne pas paraître maquillée.

Avec un pinceau estompeur, appliquez l’ombre à paupières la plus claire dans le coin interne de l’oeil, et la plus foncée dans le coin externe. Estompez particulièrement la couleur la plus foncée pour donner un aspect foncé et discret. Recourbez délicatement vos cils pour ouvrir le regard, puis appliquez un mascara noir uniquement sur le rang supérieur des cils en faisant des mouvements de l’intérieur à l’extérieur pour allonger le cil sans faire de paquet.

Quelques conseils pratiques à retrouver en vidéo :

Des lèvres bien hydratées et naturelles

Si vous maquillez trop votre bouche pour aller au boulot, vous pouvez être sûres que toutes les attentions vont se focaliser sur celle-ci, que ce soit de la part de vos collègues ou de vos clients. Mieux vaut donc éviter de les déconcentrer, et préférez encore une fois un maquillage simple pour la bouche.

Commencez par bien hydrater vos lèvres avec un baume réparateur et nourrissant. Appliquez ensuite un rouge à lèvres nude, donc de couleur chaire, comme celle de vos lèvres. Aussi, la couleur naturelle de vos lèvres sera simplement soulignée et sublimée. Plus de détails ici pour faire une bouche nude.

Adaptez votre make-up en fonction des occasions

Je vous donne ici quelques conseils pour réaliser un maquillage simple et particulièrement discret. Ce genre de make-up sera passe-partout dans tous les environnements de travail, mais bien sûr, vous pouvez adapter ces conseils. Pourquoi ne pas rajouter un peu plus de blush aux joues pour avoir meilleure mine, ou alors faire un maquillage des yeux un peu plus sophistiqué, un jour où l’occasion s’y prête ? Le tout est de s’adapter parfaitement à son environnement de travail !

Femme au travail : se faire remarquer avec sa carte de visite

Vous n’êtes pas sans savoir que le monde du travail actuel a encore des progrès à faire pour mettre l’égalité entre hommes et femmes à l’honneur. En bonne working-girl, j’avais envie de vous partager mon expérience en tant que femme dans un milieu pro.

Je trouve que l’on entend pas assez, ou qu’on ne lit pas assez des retours d’expériences de femme au travail. C’est donc pour cela que je voulais écrire un article sur les conseils simples pour s’imposer au boulot, ou encore se faire connaître quand on est une femme entrepreneure.

Oser se mettre en avant et se faire connaître

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais pour ma part j’ai toujours eu du mal à m’imposer en tant que femme au travail. Lors d’une réunion entre collègues, ou lors d’un rendez-vous avec un client, j’ai toujours l’impression de devoir faire plus d’efforts pour pouvoir faire passer mes idées.

Cette prise de conscience m’a motivée à changer la donne : je me suis dit que j’allais commencer par croire en mon travail et mes efforts, et développer autour de moi un vrai plan marketing en accord avec qui je suis. Tout cela, dans le but de faire connaître ma personnalité, mes opinions et de diffuser une image crédible autour de moi.

J’ai commencé par le commencement dans le monde pro : en travaillant ma carte de visite. C’est pour moi le meilleur outil pour se faire connaître, et diffuser autour de soi une vraie image professionnelle. Pour en savoir plus, c’est par ici.

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Un atout essentiel pour entreprendre

Vous êtes une femme au travail avec l’envie d’entreprendre ? Un bon conseil, prenez le temps de travailler votre carte de visite. Rappelez-vous que c’est l’image de votre entreprise que vous véhiculez avec vous, et dont le potentiel client doit se souvenir pour vous recontacter après votre visite.

Si vous souhaitez entreprendre, faites-le choix de laisser une bonne impression pour vous mettre en valeur. Jouez sur les couleurs, les polices et les graphismes. Pour plus d’informations sur les atouts d’une bonne carte de visite, cliquez ici. Bien sûr, il s’agit de rester professionnelle sur votre carte de visite, donc essayez de mêler créativité et simplicité.

Pour cela, vous pouvez vous tourner vers des organismes spécialisés. On trouve de plus en plus de sites internet qui sont spécialisés dans le domaine des cartes de visites pour professionnelles tout en étant originales. Ils vont s’attacher à vous proposer différents designs jusqu’à validation de votre part.

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Apprendre à marquer les esprits dans le milieu pro

Il y a un point que je trouve important à souligner, en tant que femme au travail. Je pense que nous, les working-girls, nous devons apprendre à marquer les esprits au sein de la sphère professionnelle. Parfois, encore aujourd’hui on ne me prend pas au sérieux dans ce milieu où les dirigeants sont majoritairement des hommes. Si vous souhaitez lire une belle infographie sur ce que veulent les femmes au travail, consultez ce site.

Mais c’est pour autant un domaine qui semble en train de changer, car on compte environ 200 000 femmes qui se lancent dans la création d’entreprise par an ! Nul doute que les choses vont évoluer sur le terrain, que ce soit au niveau du sexisme ou encore de l’inégalité salariale entre les hommes et les femmes. C’est donc pour cela que je vous conseille de vous faire confiance, et de vous lancer dans la création d’entreprise si vous en avez envie !

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