Conseils et astuces d'une working girl !

Auteur/autrice : La workeuse (Page 23 of 24)

Jeune maman dynamique : mes conseils pour arriver à concilier ma carrière et ma vie de famille.

Aujourd’hui, jeune maman épanouie (non loin d’être une vraie « maman-poule »), je suis totalement passionnée par mon travail dans lequel je me donne toujours à fond. Néanmoins, trouver un équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie de famille n’a pas été évident.

Gérer son temps et répartir les tâches : la clé de la réussite

La gestion du temps est primordiale et je suis devenue une vraie « warrior » du planning, me permettant même de prendre du temps pour moi. Restons séduisantes dans toutes les situations, même lorsque nous sommes une jeune maman ! Et pour cela, il faut savoir s’entourer des bonnes personnes qui nous permettront de prendre soin de nous. C’est dans cette optique que j’ai commencé mes recherches pour m’aider au quotidien.

En effet, lors de mon congé de maternité, je me suis longuement posée la question de l’avenir de mon bébé. Vais-je opter pour la crèche ? Pour la nounou ? Où vais-je prolonger mon congé de maternité ?

Puisant dans mes souvenirs d’enfance, je me rappelle de la super nounou qui me gardait lorsque que j’étais petite fille. Elle était toujours très attentionnée et très arrangeante avec mes parents. Je me sentais là-bas comme chez moi au point de ne plus vouloir partir le soir lorsque que mon père venait me récupérer après le travail. Très sympathique, n’est-ce pas ?

Quoi qu’il en soit, vivre avec d’autres enfants et ne pas être gardée par un membre de ma famille m’a permis de m’adapter aux différentes situations qui se sont présentées à moi et m’a permis de m’ouvrir aux autres, tout en restant dans un cadre que je trouve plus familier. C’est pourquoi, avec mon compagnon qui m’épaule beaucoup (je tiens à le préciser), nous avons fait le choix de trouver la nounou idéale pour notre fils !

Aujourd’hui, j’ai réussi à trouver une nounou comme j’ai pu avoir. Je suis soulagée que mon petit bout soit entre de bonnes mains. Il a la possibilité de jouer avec d’autres enfants, d’aller en promenade et de manger des bons plats « homemade ». Ces points étaient véritablement importants pour moi.

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Droite dans mes baskets : j’approuve aujourd’hui mes choix

Afin d’arriver à mieux concilier ma vie professionnelle et ma vie familiale, je suis arrivée à me fixer des priorités, d’assumer mes décisions mais également d’arrêter de culpabiliser.

Avec mon compagnon, nous sommes arrivés à nous organiser selon nos obligations professionnelles, nos différentes activités et notre vie de famille qui nous tient particulièrement à cœur. Nous sommes parvenus à nous répartir les différentes tâches afin qu’il y ait un véritable équilibre dans notre couple : je peux m’organiser des soirées entre copines autour d’un bon repas, prendre soin de mes cheveux avec des produits de coiffure performants ou bien faire des activités sportives.

Nous n’oublions pas de passer du temps tous les deux en allant au cinéma ou au restaurant. Le week-end est un excellent moment pour se déconnecter de nos semaines très chargées. Nous passons des moments très agréables en famille et c’est le TOP !

En bref, concilier sa carrière et sa vie de famille est faisable mais très intense. J’ai longtemps culpabilisé à l’idée de savoir que je devais laisser mon petit entre les mains d’une autre personne. Cependant, selon vos désirs et l’éducation que vous voulez apporter à votre enfant, vous serez à même de prendre les meilleures décisions. Mes prises de choix ne sont peut-être pas les meilleures, mais à ce jour, j’ai réussi à adopter un rythme de vie qui me convient parfaitement.

Une sélection de mes idées pour faire le tri dans sa vie

Il y a deux façons de vivre : vivre organisé, et vivre désordonné. Il y a celles et ceux qui auront passé des heures chaque matin à mettre au point des coiffures complexes et ne laisseront pas dépasser la moindre mèche de cheveu. Il y a les réguliers, les ponctuels, les qui prennent leurs trois repas à heure fixe, les rigoureux, ceux qui tiennent à jour un strict emploi du temps, ceux qui comptent, ceux qui élaborent des plans, des stratégies, ceux qui savent faire le tri, dans leurs poubelles, leurs relations, leurs pensées, leurs affaires… et puis il y a les autres.

Je crois que je fais partie des autres. J’aime vivre à cent à l’heure, improviser, imaginer, rêver, parler, crier, jouer, voyager, danser, rire, pleurer, ne penser à rien, penser à tout à la fois, arriver en retard, partir en retard, et vice-versa, j’aime ma chambre, mon salon, ma salle de bain éparpillée, mes cheveux ébouriffés, c’est mon confort, ma manière à moi de m’y retrouver. Oui, enfin, je sais tout de même être un minimum responsable, hein ! Sinon, mon patron ne m’enverrait pas profiter de la vie en voyage d’affaire à l’autre bout du monde ! Disons que je suis de nature brouillonne, et que j’ai appris la rigueur à l’école de la vie. C’est pourquoi je vais aujourd’hui vous confier quelques-uns de mes secrets pour faire le tri dans sa vie. Après tout, c’est important !

Faire le tri sur son bureau

L’espace de travail, c’est l’ordinateur, le clavier, les post-it, les stylos, sans oublier la plante verte… mais c’est aussi un milliard de papiers de bonbons, de paquets de gâteau, de tasses, de ronds de café, de bouchons de Bic égarés, de miettes de pain… le tri est donc de mise ! C’est simple : tout ce qui sert à travailler reste, et le reste… poubelle ! Ensuite, tout ce qui sert à travailler mais dont vous ne vous servez jamais ou seulement très peu souvent n’a rien à faire sur le bureau. Mettez-moi tout ça dans le tiroir !

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L’idée, c’est que vous n’ayez plus sur votre espace de travail que ce qui est vraiment nécessaire. Plus la plante verte, évidemment. On ne peut pas vivre sans plante verte. Mais revenons à nos moutons. Le même traitement doit être réservé à la paperasse, aux documents. Oui, l’enjeu est de taille, les dossiers arrivent plus vite qu’ils ne repartent, vous les accumulez à ne plus savoir qu’en faire.

Par conséquent, une seule méthode sera la bonne : Faire le tri. Si un papier traîne là depuis longtemps, qu’il vous nargue du haut de son format A4 et que vous ne pouvez plus le voir en peinture… poubelle ! Sinon, vous pouvez lire ce qui se raconte ici sur la créativité au bureau et continuer à n’en faire qu’à votre tête.

Le tri dans ses relations

Là, ça se corse. Faire le tri dans ses amis, ses collègues, ses connaissances, c’est toujours un pari risqué ! Moi je préconise de classer les gens en fonction des relations que vous avez avec eux. Si vous entretenez avec une amie une relation nocive, faite de faux semblants, de coups bas, de délations ou de toute autre réjouissance, mettez-y un terme incessamment sous peu !

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Cette méthode peut en plus être un bon moyen de réfléchir aux amis que vous voudriez garder : en passant en revue les personnes dans vos contacts téléphoniques, Facebook ou autres, vous pourriez redécouvrir quelqu’un que vous aviez perdu de vue et dont vous gardez d’excellents souvenirs. C’est le bon moment pour recontacter cette personne et rattraper le temps perdu ! J’ai appliqué cette méthode à moi-même et j’ai regagné trois amis, au bas mot !

Le tri sélectif

Faire le tri, c’est aussi penser à l’environnement ! C’est en tout cas ce que j’ai appris à faire, et je dois dire que je suis plutôt satisfaite de mon coup. J’ai une poubelle jaune pour les plastiques, le fer, les flacons de déodorant et autres, une verte pour les verres, une bleue pour les cartons et autres papiers, et une marron pour tout ce qui est organique et non recyclable. Je sais, ça peut paraître compliqué dit comme ça mais une fois qu’on a appris à faire le tri, on n’y pense même plus !

À nouvelles technologies, nouvelles façons de vivre !

Bonjour vous ! J’espère que vous êtes entrés dans l’automne comme un couteau dans du beurre, moi en tout cas je suis en pleine forme. Aujourd’hui près de chez moi je suis passée dans une petite rue commerçante que je connais bien et qui a une valeur émotionnelle importante à mes yeux. Dans mes souvenirs, elle était pleine de boutiques de bijoux, de friandises, et pleine de kebabs, de magasins de chaussure, de prêt-à-porter…

Alors quand j’ai vu ce qu’elle était devenue, ça m’a fait un choc ! Des boutiques d’audiovisuel partout ! Apple, Microsoft, toutes les marques de télévision, de téléphones, de drones, de jeux vidéo, tout, absolument tout ! Alors ça m’a donné envie de vous parler des nouvelles technologies. On coupe son téléphone et on m’écoute bien attentivement, c’est parti !

Les nouvelles technologies, c’est quoi ?

Je me suis renseigné sur le sujet, histoire de ne pas vous raconter n’importe quoi, et je me suis tout de suite aperçue que le champ est autrement plus vaste qu’il n’y paraît ! Les nouvelles technologies, c’est le terme qui qualifie nos technologies modernes, sociales, quotidiennes, celles qu’on connaît bien, mais il qualifie aussi bien toutes les avancées faites à des niveaux beaucoup plus sérieux. Et il y en a un paquet !

Évidemment, tout ce qui concerne la robotique est très populaire. Je suis sûre que vous-mêmes, chers lecteurs, en connaissez un rayon là-dessus ! Entre le Japon et leurs robots humains, et les USA avec leurs robots militaires ultraperformants, c’est clair qu’on vit désormais dans un monde dominé par la science-fiction.

D’ailleurs puisque je vous parle de science-fiction, vous avez vu les avancées en termes d’aérospatial ? Je sais bien que tout le monde n’est pas un génie comme Elon Musk (cliquez ici si vous n’avez aucune idée de qui il peut bien s’agir) mais si tout le monde avait ne fut-ce que le quart de son ambition sur le plan des nouvelles technologies, l’humanité vivrait peut-être déjà sur Mars à l’heure qu’il est !

Et ne parlons même pas de la physique. Entre le boson de Higgs et toutes ces histoires de multivers qui moi, personnellement, me font à la fois rêver et trembler de trouille, on ne sait plus sur quelle nanoparticule danser ! Il paraîtrait que le temps est relatif. Je n’ai aucune idée de ce que ça veut dire mais j’ai comme l’impression que la vie, quand on est assez intelligent pour la comprendre, est fascinante !

Et les problèmes que ça engendre alors ?

À mon avis, et c’est aussi celui de beaucoup de monde, le problème avec les nouvelles technologies, c’est que quand elles sont utilisées pour la science, c’est très bien, mais quand on commence à vous en resservir à toutes les sauces, chez vous, au boulot, dans les transports, en vacances, et que l’armée s’équipe du matériel de pointe pour être sûr de tuer le plus grand nombre de gens possible le plus rapidement possible en cas de guerre, eh bien, tout de suite, c’est beaucoup moins bien.

Imaginez un peu, la perte de contacts humains qu’a engendrée l’apparition dans nos vies des téléphones, des tablettes, des ordinateurs. Vous allez me dire qu’on remplace un moyen de communiquer par un autre, et vous aurez tout à fait raison, mais je pense qu’on est en droit de se sentir nostalgique ; nostalgique du temps où les gens voyageaient pour explorer et découvrir plus que pour passer leur temps rivés à un appareil photo.

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Je critique mais je suis la première à faire pareil ! Les nouvelles technologies font partie de nous désormais, et nous ne pourrions plus nous passer d’elles. Espérons simplement que l’humanité ne finisse pas par s’enfermer dans une grosse boîte noire pour ne plus vivre exclusivement qu’à travers son écran… ça serait dommage !

 

Le travail : comment être plus efficace ?

Je trouve qu’il est de plus en plus difficile d’avoir son attention focalisée sur le travail ou la tâche qu’on réalise. En effet, dès que je suis en train de faire une mission précise au boulot, je reçois un mail d’un client ou d’un collaborateur. Le simple fait de voir la notification me donne envie d’ouvrir ce mail, et là le mal est fait.

Je me stoppe alors dans ma tâche précédente, j’ouvre ce mail et je commence cette seconde tâche. Comment faire pour rester concentré(e) au travail ? Je vous donne tous mes conseils, et vous pouvez en découvrir d’autres via cet article. 

On commence par éliminer les distractions 2.0

Le premier conseil que je vous donne pour éviter d’être déconcentré(e) au travail est assez simple en théorie : il s’agit d’éliminer le plus de distractions, et en particulier les distractions digitales. En savoir plus sur la déconcentration par ici.

Quand je souhaite faire une tâche en étant pleinement investie de A à Z dedans, je commence par couper mon portable en le mettant en mode avion. Si jamais je dois recevoir une notification précise à un moment donné, si c’est un appel en particulier, j’évite de le mettre en mode avion et je me contente de désactiver toutes les notifications parasites à la main sur mon téléphone.

Comme cela, on peut tout de même me joindre, mais mon regard n’est pas sans cesse attiré par les petites notifications lumineuses sur l’écran. Une fois que j’ai achevé ma tâche, je reprends contact avec le digital : je consulte mes mails et là je suis pleinement disponible pour y répondre.

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Isolez-vous pour accomplir votre tâche

Si vous avez besoin de prendre du temps pour vous et pour le travail que vous devez accomplir, faites-le. En d’autres termes, isolez-vous si vous en ressentez le besoin. Personnellement, je commence par prévenir tous mes collègues que je ne serai pas disponible pour une certaine durée de temps, et que je ne souhaite pas être dérangée pendant cette période.

C’est la seule solution que j’ai trouvée pour pouvoir mener ma mission pleinement. Ensuite, je demande à mes collègues de prendre les messages pour moi si jamais quelqu’un souhaite me joindre pendant ce temps, ou alors je m’occupe de mettre mon téléphone sur répondeur. Vous verrez que c’est comme cela que le travail que vous devez absolument faire en temps et en heure sera accompli dans les meilleurs délais.

Eliminez la fonction « multitâches » de votre cerveau

J’imagine que ce conseil va vous faire sourire. Et pourtant, je pense que c’est la meilleure solution pour que le travail que vous souhaitez faire le soit, en temps et en heures. C’est donc pour cette raison que je vous conseille de vous focaliser sur une seule tâche à la fois.

Personnellement, je commence toujours par me munir d’une feuille, d’un crayon et de mon agenda électronique. C’est comme cela que je peux visualiser l’ensemble des tâches de travail à réaliser pour l’ensemble du mois, et que je peux prioriser celles qui sont les plus importantes à accomplir. Une fois que l’une des tâches est remplie, je passe à la suivante et ainsi de suite.

Faire une seule tâche à la fois permet d’être plus productif que d’en faire plusieurs en même temps, car on évite de s’éparpiller dans tous les sens. D’autres conseils efficaces en lisant cette page.

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Faites des pauses pour rester plus productif !

Les études sur le travail le prouvent : on ne peut pas rester productif 100% du temps. C’est justement pendant le temps de pause que notre cerveau se régénère, ce qui nous permet de rester productif. Aussi, un bon conseil faites une pause au bout d’une heure et trente minutes de travail intensif. Il suffit de souffler quelques minutes pour pouvoir repartir sur de bonnes bases et entamer une nouvelle tâche.

Comment demander une augmentation à son patron sans sourciller

L’autre jour, je recevais une amie chez moi. Elle était dans un état de panique vraiment avancé. Elle tremblait sur mon canapé tout en m’expliquant qu’elle s’apprêtait à demander une augmentation à son patron. Vu le travail acharné qu’elle avait mené ces derniers temps, c’était amplement mérité, et je ne voyais pas pourquoi elle redoutait tant ce rendez-vous !

Alors je me suis dit que ça ferait un bon sujet d’article à partager avec mes très chers lecteurs ! Je vais vous dire, moi, pourquoi vous n’avez rien à craindre et surtout, comment vous y prendre pour que tout se passe dans les meilleures dispositions possibles.

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Acte I : Commençons par analyser le terrain

Le maître-mot quand on veut demander une augmentation : ne pas y aller à l’aveuglette. Ça pourrait se retourner contre vous, et c’est bien logique : si vous espérez une augmentation alors que vos résultats sont piètres, vous vous nourrissez d’illusions, mes pauvres ! Mais nous partirons du principe que vous méritez très largement cette petite augmentation de salaire, voire cette promotion (après tout, pourquoi pas ?).

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La politique salariale, un bon indicateur

La première chose à faire est de prendre connaissance de la politique salariale de votre entreprise. Celle-ci peut d’emblée vous donner quelques éléments de réponse quant au chiffre que vous ambitionnez : montant maximum, rémunération de vos collègues et autres informations vous permettront de vous situer dans cette structure et d’évaluer votre légitimité à demander une augmentation.

Dresser une liste pour s’autoévaluer

En effet, l’autoévaluation aura sur vous de nombreux effets positifs ! Tout d’abord, elle vous permettra de vous mettre vous-mêmes à la place de votre patron. Vous entreverrez mieux la manière dont il ou elle vous perçoit et, par conséquent, vous saurez quelles ficelles tirer pour orienter sa décision au moment de lui demander une augmentation. Vous trouverez également des exemples de lettres de demande en suivant ce lien.

Ensuite, elle vous permettra de vous donner confiance en vous. On ne se rend pas toujours compte des bénéfices que représente notre présence au sein d’une équipe, qu’il s’agisse de qualités relationnelles, de réactivité, de résultats probants ou autres. Faire le point sur ce que l’on pèse en termes de valeurs professionnelles nous amène donc à gagner en assurance. Or c’est là un état d’esprit essentiel lorsque l’on se retrouve face à la seule personne susceptible de nous donner ce que nous voulons !

Acte II : se préparer à demander une augmentation

Ça se répète !

Tout comme l’acteur établit une connexion entre lui et le public par le biais de sa gestuelle et de sa voix, la personne que vous êtes doit se préparer afin de faire bonne figure le jour de l’entretien. N’hésitez pas à répéter devant votre miroir, ou devant votre partenaire de vie. Celle-ci ou celui-ci vous taquinera peut-être mais c’est une méthode qui fera ses preuves ! Elle vous permettra de prendre la parole face au patron avec dix fois plus d’assurance que si vous formuliez votre demande pour la toute première fois, la voix balbutiante et le visage plein de tics nerveux.

Soigner votre patron

Quand on veut faire signer un contrat à un client, on le met dans de bonnes conditions. On l’invite au restaurant, on lui offre des choses. Le principe ici est un peu le même. Il ne s’agit pas de suggérer un rencard à votre chef ou de l’enivrer, comme le suggère la vidéo ci-dessous ! Mais vous pourriez par exemple planifier le rendez-vous à un moment où vous savez qu’il ou elle n’est pas très occupé(e). Ce genre d’attentions peut vraiment transformer l’essai.

Savoir ce que l’on veut

Car oui, il est bien beau de demander une augmentation, mais une augmentation de combien au juste ? La question peut paraître idiote, pourtant certaines personnes sont tellement préoccupées par le seul fait de faire leur demande, qu’elles en oublient les modalités !

Il serait dommage de passer à côté d’une prime en or massif parce que vous n’y aviez tout simplement pas pensé !

Outils de gestion de projet : bien les choisir pour gagner en efficacité

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais depuis quelques années, les outils de gestion de projet sont devenus indispensables à l’organisation des tâches et des campagnes au sein de l’entreprise.

Ce sont des outils polyvalents et bien utiles, et je me suis dit qu’il pouvait être intéressant de souligner dans un article quels sont pour moi les critères essentiels que doit remplir un logiciel de gestion. Vous pouvez consulter cette page pour obtenir plus de renseignements.

A quoi sert un logiciel de gestion ?

Les outils de gestion sont indispensables pour pouvoir organiser correctement les tâches, de façon claire et sur la durée, pour une équipe donnée. Ils vont vous permettre de partager des informations à différents niveaux, entre les membres du projet. Par exemple :

  • Calendriers
  • Liste des tâches
  • Partage de documents
  • Création de « wiki »
  • Visualisation du temps restant pour la réalisation du projet
  • Progression du projet, des objectifs atteints ou non
  • Alertes et notifications

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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Le couteau suisse de la gestion de projets

Les outils de gestion de projet permettent la bonne mise en oeuvre des missions de l’entreprise. Plus concrètement, ils vont permettre le suivi et la coordination des travaux de groupe, et également intégrer des informations essentielles comme les coûts et les deadlines.

Tout d’abord, un bon logiciel de gestion doit permettre de découper les projets en étapes, de distribuer les tâches en fonction des membres de l’équipe, et de rassembler les informations selon une chronologie précise et modulable.

Lorsque vous faites le choix de vos outils de gestion de projet, prenez soin de vérifier qu’ils permettent :

  • La planification du projet selon des tâches
  • Identifier les besoins et les ressources matérielles et humaines
  • Gérer les retards sur les deadlines

Au final, le but d’un tel logiciel est de provoquer la collaboration à l’intérieur des groupes de travail.

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Comment maîtriser les coûts avec un tel outil ?

Au moment de choisir vos outils de gestion de projet, assurez-vous d’avoir la fonctionnalité nécessaire à la gestion financière. Ce logiciel doit vous permettre d’avoir une vision d’ensemble des coûts financiers de votre projet, et de chaque tâche.

Bien sûr, je vous conseille de réfléchir par vous-même aux surcoûts que votre projet peut engendrer. Il s’agit de penser par exemple aux dépenses « en plus » que vous allez faire. Cela peut être par exemple une formation aux outils logiciels ou encore de la logistique pour pouvoir respecter les délais. Pour apprendre à bien gérer son projet, c’est par ici.

Vers quels outils de gestion de projet se tourner ?

Il existe énormément de logiciels de gestion de projet, vous pouvez faire le test par vous-même de ceux qui s’adaptent le mieux à votre travail, mais je vous présente ma sélection de deux outils que je trouve indispensables :

  • Basecamp : pratique pour une petite équipe, avec des fonctionnalités simples (calendrier, échéancier, listes de tâches)
  • Planzone et Clarizen : sur le serveur de l’entreprise, ils proposent le partage de documents, la création de bases de données, de participer à des forums, des blogs…

Quand il y a grève des transports, on sort la roue de secours !

« Le trafic sera perturbé », « tous les trains sont à l’arrêt »… on les a toutes entendues ces annonces ! Chaque fois que les réseaux franciliens décident de faire la grève, c’est toute la population parisienne qui en pâtit. Imaginez un peu, une métropole entière paralysée par la grève des transports ! Hélas, ça nous arrive fréquemment. Et quand ça n’est pas la RATP ou la STIF, c’est la SNCF qui décide de bloquer la France entière, rien que ça ! À force de se retrouver dans ce genre de situation, on développe des astuces. Ça vous tente d’en connaître quelques-unes ?

Le Vélib’ ou l’Autolib’

Non, le Vélib’ n’est pas utile que dans les situations désespérées, quand vous rentrez pompette d’un dîner à 2h du matin et que tous les transports en commun sont fermés. Il peut aussi servir quand les transports en commun sont fermés… alors qu’ils ne devraient pas l’être ! Simple et non polluant, le Vélib’ a tout pour vous séduire !

Il existe depuis 2007 et il pullule aujourd’hui dans tout Paris et la petite couronne. On le retrouve aussi, sous d’autres dénominations plus ou moins similaires, dans toutes les grandes villes de France ! Lyon, Toulouse, Marseille, Bordeaux… pour la seule ville des lumières, ce ne sont pas moins de 17000 vélos qui sont à votre disposition dans quelques 1230 stations, alors en cas de grève des transports, je ne veux pas vous entendre dire que « j’ai eu beau chercher j’ai pas trouvé » !

En plus, ça ne coûte même pas très cher si vous comptez vous abonner. 29 euros par ans pour le Vélib’, 9 euros la demi-heure pour louer une Autolib’. Et mise à part les risques que vous encourez toujours à zigzaguer entre les voitures dans les rues de notre belle capitale, il y a peu de chances avec cette méthode pour que vous arriviez en retard où que ce soit le jour où il y a une grève des transports. Sans compter que ça fait faire du sport et que vous ressentirez moins la culpabilité d’avoir remplacé votre salade de quinoa par un bon hamburger frites ce jour-là.

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La marche à pieds

La marche à pied est le moyen de locomotion le plus ancien qui existe. Il paraît même qu’on l’aurait inventé avant la machine à vapeur ! Alors s’il existe encore aujourd’hui, c’est sans doute parce que c’est un système fiable, non ? Dans ce cas, le jour où survient une grève des transports, pourquoi ne vous rendriez-vous pas à votre travail à pieds ?

Je sais, il faut parfois marcher 2, 3, voire 4 heures pour se rendre sur son lieu de travail. Si vous êtes dans ce cas, oubliez ce que je viens de dire. Mais j’en connais quelques-uns (je ne désignerai personne) qui habitent à quelques stations de métro de chez elles et qui s’offrent quand même le métro au quotidien. Eh bien, voilà une bonne occasion de se bouger ! Hop !

En plus, Paris est l’une des villes les plus riches du monde en termes de patrimoine et de culture. Vous ne pourrez pas tourner à un angle de rue sans tomber sur une statue en hommage à quelque obscur souverain d’un temps révolu ou sans passer devant le portique de la maison d’un célèbre peintre, ou encore devant celle d’une star du cinéma. Profitez de la grève des transports pour explorer ce musée immense qu’est Paris !

Le covoiturage

Parfois, on vit en dehors de la ville et on a l’habitude de prendre le RER pour se rendre au travail. Il en va de même dans toutes les villes du monde, d’ailleurs ! C’est le système de la migration pendulaire. Avec l’affluence de citadins et la surabondance de logements occupés, sans parler des prix, on préfère délocaliser sa vie personnelle, et c’est un choix qui comporte de très nombreux avantages !

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Seulement voilà, quand une grève des transports a lieu (et on ne nous prévient pas toujours à l’avance), on se retrouve coupé du monde, comme Napoléon sur l’île de Sainte-Hélène ! C’est pour cette raison que le covoiturage est un système révolutionnaire qui peut s’avérer salvateur !

On s’en sert pour voyager jusqu’à l’autre bout du monde, mais on peut tout aussi bien s’en servir pour voyager jusqu’à l’autre bout de la ville. En revanche, une grève des transports reste un problème pour tout le monde. Je ne vous garantis pas qu’il n’y ait pas d’embouteillages sur le périphérique, mais au moins vous aurez une solution pour ne pas rester chez vous !

Travailler à Paris : un art de vivre

Je ne compte même plus le nombre de mes amis qui vivent en province et se montrent émerveillés à chacune de leurs aimables visites dans mon antre parisienne. C’est parce qu’ils ne se rendent pas compte. Ils n’ont pas vécu les heures de pointe, les trajets interminables, les gens furibonds qui vous bousculent et vous fourrent leur dos spongieux dans les narines, le tissu de leur vêtement gorgé de transpiration. Travailler à Paris est un art, en quelques sortes. Si se rendre au travail est déjà une prouesse digne des meilleures acrobaties olympiques, en trouver un est encore autre chose.

On commence par s’installer

Quand on arrive en ville, ou même hors de la ville, avec la ferme intention de travailler à Paris, on commence par choisir un logement. Le plus dur, c’est d’en trouver un qui soit suffisamment peu éloigné du futur lieu de travail et qui, dans un même temps, soit dans un quartier considéré comme sympa, tout en étant assez grand et pas trop cher, assez calme et pas trop isolé.

Autant dire que c’est un rêve quasiment impossible à réaliser. À un moment ou à un autre, mes petits loups, vous allez être obligés de faire des concessions ! Je ne vous conseille surtout pas de privilégier un appartement plus petit qu’un mouchoir de poche, au simple prétexte qu’il se situe dans un superbe quartier à trois stations de votre boulot. Croyez-en mon expérience de vieille Parisienne habituée, vous éprouverez une joie bien plus immense à rentrer chez vous aux alentours de 22 heures, mais dans un joli petit 40m² tout confort.

Et puis, vous vous en rendrez vite compte : rares, très rares sont les Parisiens qui ont la chance incroyable de ne pas devoir effectuer plus de 30 minutes de trajet pour se rendre au travail. En revanche, ils sont beaucoup plus nombreux à vivre en périphérie, voire parfois même dans un autre département ! Ce phénomène de migration pendulaire est propre aux grandes métropoles. Quand on en est là, 2 heures de voyage par jour pour travailler à Paris, c’est la base.

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On se taille une place au soleil (de la gare d’Austerlitz)

La success story de l’entrepreneur qui monte sa boîte et devient multimillionnaire en quelques années ; ou encore celle de l’actrice de province qui éblouit les plus grands réalisateurs par son talent hors-norme ; ou le petit employé qui gravit les échelons et finit chez de service dans un organe d’État… ces rêves, on les a tous eus, non ?

Eh bien, je ne vais pas vous dire de les oublier, mais je ne vais pas non plus vous laisser miroiter que le parcours sera facile ! Foi de Parisienne, tout est possible quand on le veut vraiment ; mais nous sommes si nombreux à vouloir la même chose que le fait de l’obtenir nécessite une mentalité en acier trempé ! Rassurez-vous, puisque vous allez travailler à Paris, vous vous rendrez bien vite compte que le seul moyen d’exister, c’est de se faire entendre.

Jouer des coudes dans le métro, profiter de la moindre petite place pour vous faufiler, de la moindre opportunité pour évoluer, ce sont ces gestes simples qui vous aideront à grappiller et agglomérer peu à peu les branches qui serviront à tisser votre nouveau nid de petit oiseau parisien.

Travailler à Paris et profiter des douceurs de la vie

Même si au départ la quasi-totalité de votre salaire part dans votre loyer, vous finirez tôt ou tard par être capable de profiter des douceurs de la vie parisienne. Les terrasses des cafés vous souriront, les restaurants vous donneront l’eau à la bouche, vous ferez ami-ami avec votre boulanger, vous sortirez souvent, verrez tout ce que la ville a à vous offrir.

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Et puis, il faut bien se dire une chose : si tu peux partir le matin avant même que le soleil n’arrive, et sans dire un seul mot t’agripper à la barre dans le métro, ou perdre d’un seul coup 100 euros dans un café du 16ème arrondissement, sans un geste et sans un soupir, si tu peux rentrer le soir et supporter de médiocres programmes à la télévision, être trop épuisé pour te faire cuire le moindre steak, et te sentir haï sans haïr à ton tour, si tu peux travailler à Paris sans jamais voir la lumière du jour, et malgré tout sourire quand arrive le week-end, alors les bars, les boîtes, les restaurants seront à tout jamais tes lieux de prédilection et, ce qui est mieux que les Rois et la Gloire, tu seras Parisien, mon fils !

Partir en voyage d’affaires ? Ça plane pour moi !

Bon, ne nous mentons pas, il est quand même assez génial, ce moment où votre patron vous annonce que vous partez en voyage d’affaires. D’accord, ça l’est peut-être un peu moins si vous avez peur de l’avion, mais l’idée de se retrouver dans un pays étranger, de dormir à l’hôtel et de goûter aux saveurs exotiques de la nourriture locale dans un restaurant, tout ça aux frais de la princesse… personnellement, ce genre de nouvelle me motive et me donne envie de sourire à tout le monde pour le reste de la journée ! Dans cet article je vais vous dévoiler mes techniques secrètes pour préparer au mieux mes voyages professionnels !

Dans ma valise il y a…

Avez-vous déjà regardé Up in the air ? Ce film avec le beau, le drôle, l’élégant George Clooney vous fera tourner la tête, puisque c’est l’histoire d’un homme d’affaire voyageant 240 jours par an, rien que ça. De quoi vous inspirez pour vos propres déplacements ! Personnellement, j’ai mes petites habitudes :

Pour éviter la catastrophe

Pour commencer, avant chaque voyage d’affaires je prends toujours de l’argent liquide avec moi. Et je pense à changer la devise, bien entendu ! Mais de toute façon, tous les aéroports disposent de bureaux de change, me direz-vous. Certes ! Pourtant il m’est arrivé un jour de débarquer en pleine nuit dans un petit aéroport du fin fond de l’Alaska, et je peux vous assurer que pour trouver ne fut-ce qu’un distributeur automatique de billet dans ce trou perdu, il aurait fallu se lever de bonne heure !

Ensuite, j’imprime toujours – j’ai bien dit toujours – mes documents : billets d’avion, chambre d’hôtel… je photocopie même mes papiers d’identité. Comme ça, si la batterie de mon cher iPhone sur lequel je fais toutes mes réservations importantes décide de me lâcher au moment le plus (in)opportun, je dispose d’une solution de secours ! Et si je perds ou me fais voler mon passeport, idem ! Je suis maligne, n’est-ce pas ?

Aussi, je ne boucle jamais ma valise pour partir en voyage d’affaires sans y avoir mis au préalable un adaptateur universel pour prise électrique. Cliquez ici pour en trouver un. Il n’y a rien de plus horripilant que d’arriver dans sa chambre d’hôtel en territoire inconnu, épuisée et trempée de sueur, et de s’apercevoir qu’on ne peut même pas recharger la batterie de son ordinateur ou de son téléphone parce que les prises ne sont pas les mêmes qu’en France. De quoi s’arracher les cheveux, vraiment !

Pour penser à mon bien-être pendant le voyage

Bien sûr, je ne pars non plus jamais sans quelques tenues propres et bien pliées. Pas question d’arriver devant un client avec un pantalon ou une jupe froissée ! Je fais toujours en sorte de repasser mes affaires et de prendre quelques vêtements plus décontractés afin de ne pas passer la semaine entière coincée dans un costume ceinturé et inconfortable au possible. En voyage d’affaires, je prends généralement cinq paires de chaussettes, cinq culottes, cinq chemises, etc… vous savez pourquoi ? Parce que presque toutes les blanchisseries d’hôtels ont une formule « cinq de chaque » ! Pas bête, hein ?

Enfin, et c’est l’une des choses les plus importantes, je prends toujours de quoi me divertir ! Livres, films… mieux vaut avoir sur son disque dur quelques saisons de Game of Thrones, Mr. Robot et autres Breaking Bad pour s’occuper, car un voyage d’affaire, ça n’est pas fait que de rencontres. Ce sont aussi de longues, longues heures passées en solitaire, dans l’avion, à l’hôtel… bref, tout ce qui peut tromper l’ennui ne doit pas vous quitter d’une semelle !

Conseils pour égayer votre voyage d’affaires

Il faut user de stratégie pour profiter au maximum d’un voyage professionnel. Le fait qu’il s’agisse de business n’enlève rien au fait qu’il s’agit aussi, avant tout, d’un voyage ! Par exemple, je fais en sorte de rester le week-end sur place. Ça me laisse le temps de voir du pays, de me faire des amis et, au moins, si les affaires avec le client ne se sont pas avérées concluantes, je peux toujours me dire que je ne suis pas partie pour rien !

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Ensuite, tout dépend de l’endroit où je me rends et de l’époque à laquelle je m’y rends, mais j’aime prendre mes lunettes de soleil, un maillot de bain et une serviette avec moi. Beaucoup d’hôtels possèdent un spa. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Personnellement, je ne peux pas rester scotchée à mon téléphone pro toute la journée. J’ai besoin de mes moments détente, de ma lecture…

Et enfin, je ne pars pas en voyage d’affaires sans avoir au préalable bouclé mes plus gros dossiers. Ainsi je me sens plus légère et je peux partir l’esprit tranquille. Vous devriez vraiment essayer, croyez-moi, ça change tout ! Il ne me reste plus, mes chers amis, qu’à vous souhaiter bon voyage !

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